Les (Més)Aventures DUn Hétéro (3)
De plus en plus bizarre, décidément. Je suis hétéro, pour moi, il ny a jamais eu de doute, mais je viens de me faire sodomiser deux fois par mon copain Sébastien ; malgré ça je reste avec lui à discuter : nous dînons ensemble tout naturellement comme deux potes qui ne se sont pas vus depuis des années. La moitié du temps, je me sens super à laise et je retrouve cette amitié qui nous a liés pendant si longtemps, et lautre moitié du temps je me sens complètement bousculé dans mes certitudes, déboussolé et un peu perdu. Je narrive pas à me sortir de la tête comment Sébastien ma fait jouir en me baisant purement et simplement. Je suis même incapable de déterminer si jétais consentant ou sil ma plus ou moins , si jen suis comblé ou honteux (ou les deux ?).
Bref, cest vendredi soir, on a profité dune bonne séance de sauna et maintenant, après un apéro un peu long, on se finit un petit barbecue sympa et bien arrosé. Jai lalcool optimiste, car plus je bois, plus jen arrive à voir le bon côté des choses. On déconne et on se marre tous les deux, on pique des rigolades comme ça ne nous est pas arrivé depuis des années. Cest bizarre, la vie : on a un super copain, mais un déménagement, quelques années détudes, une copine « pot de colle » et on se perd de vue. Du coup je me sens euphorique de retrouver cette complicité. Il se fait tard et jévoque mon retour, mais Sébastien réagit aussitôt :
- « Non mais tu es fou ? Tu as vu dans quel état du es ? Tu dois avoir presque deux grammes dalcool dans le sang. Tu restes dormir ici, un point cest tout. »
Je réalise quil a raison. Je me rends compte en même temps que je vais me trouver dans une drôle de situation pour la troisième fois aujourdhui. Je suis obligé de rester, je vais être seul avec Sébastien, tellement pompette que je me sens déjà en état dinfériorité. Mais que se passe-t-il ? Il me manipule et il ma fait boire pour me garder ici ou cest moi qui me suis mis volontairement dans cette situation ? Si je ny prends garde, il va encore me baiser et je vais avoir droit à une troisième tournée en quelques heures.
- « Eh, quest-ce-qui tarrive ? Tu es tout blanc
Dis-donc, toi, il faut que tu ailles te coucher vite. Viens, je temmène. »
Autoritairement, Sébastien memmène vers la chambre (Laquelle ? La sienne ? La chambre damis ?). Je titube un peu mais jarrive à le suivre. Par contre, je narrive pas à penser clairement : quest-ce que je veux ? Jai limpression que ma volonté et même ma lucidité mont quitté. Je le suis comme un automate. Il memmène dans la salle de bains, mouille un gant de toilette et me le passe sur le front.
- « On dirait que tu as chaud, hein ? »
Je ne réponds pas mais le laisse faire. Cest vrai que ça fait du bien cette fraicheur. Je me sens mieux et moins oppressé. Mmmm, cest agréable. Je ferme les yeux mais ça tourne alors je les ouvre à nouveau quand je sens que je vais perdre léquilibre.
- « Doucement, doucement, te casse pas la figure, tiens, viens par là, je vais taider
»
Il me fait rentrer dans la chambre. Je suis parfaitement lucide mais je me sens tout chose
Sébastien madosse contre le mur pour que je ne tombe pas et il commence à me déshabiller.
- « Tas vraiment de la chance davoir un copain comme moi pour te border
»
Il est face à moi et commence à déboutonner ma chemisette. Jessaie de savoir : il me déshabille « normalement » ou il a une idée derrière la tête ? Maintenant, je suis torse nu et Sébastien sattaque au bas : des difficultés pendant de longues secondes, car il doit se battre contre les basquets, les chaussettes et le pantalon. Ça y est : je suis presque nu, avec juste mon slip. Sébastien a comme un éclair de satisfaction : je suis à nouveau à sa merci.
- « Tiens, je connais un truc super pour se rafraîchir les idées
»
Il meffleure le torse tout doucement, et un délicieux frisson me parcourt. Il insiste un peu sur mes tétons et joue avec. Il décrit des cercles mais revient régulièrement sur la pointe de mes seins. Je tremble comme une feuille à chaque passage.
- « Avoue, cest pas mal, hein ? Ça réveille, non ? »
Il a raison, tout mon corps se réveille et je sens même que mon sexe commence à réagir. Maintenant, Sébastien se fait plus hardi : il passe le bout de sa langue sur mes tétons pour les exciter encore plus. Cest pas possible : comment fait-il pour savoir tout de suite ce qui me plait le plus ? Même moi jignorais à quel point ma poitrine est sensible. Il continue, il explore, il essaie, il recommence. Pendant ce temps, une bosse se forme sous mon slip.
- « Je parie que jarrive à te filer la trique sans même te toucher la queue. Tu vas voir
»
En fait, il a déjà presque gagné parce que je suis sacrément émoustillé. Il se penche, me descend mon slip. Maintenant je suis complètement nu, offert à ses regards. Ma queue est à lhorizontale mais ne semble pas vouloir cesser de se dresser. Sébastien recommence à me caresser tout le corps, les épaules, la poitrine, les flancs, les fesses, les cuisses. Effectivement, ma queue se dresse petit à petit sans quil ait besoin de la toucher.Puis, tout à coup :
- « Cest vrai, il fait trop chaud, moi aussi je vais me mettre à laise. »
Joignant le geste à la parole, il se retrouve rapidement torse nu, puis totalement nu. Je le regarde et je me dis quil est bien foutu, pas de graisse, des muscles harmonieux. Tiens, sa queue prend de lampleur aussi mais il nen est pas au même stade que moi : mon pieu se dresse déjà fièrement. Et puis, tout à coup, avec une détermination affichée, il approche son visage et membrasse fougueusement, sans préliminaires. Je sens ses lèvres qui se pressent contre les miennes, sa langue force le passage et me pénètre.
- « Salopard, cest pas possible, faut que je te baise, tu mexcites trop, tu me rends dingue. »
À peine a-t-il dit ça quil me rapproche du lit, mallonge sans ménagement sur le ventre, puis me redresse les fesses. Ce salaud est en train de me mettre à quatre pattes et jai limpression quil a dans lidée de me sodomiser en levrette, ni plus ni moins. Lidée me semble à la fois folle et logique. Je suis tellement passif, immobile, à quatre pattes, attendant mon supplice sans bouger, que je suis à peine surpris quand je sens quil me met du gel sur lanus. Quelques secondes de plus et ça y est : il ma bien enduit la raie de gel, ma enfoncé un doigt dans le cul, ma préparé rapidement avec deux ou trois va-et-vient et je sens linéluctable : son gland sur ma rondelle, ses mains sur mes fesses ; il me les écarte, pousse sa queue en avant et me voilà encore avec sa bite qui me rentre dans le cul pour la troisième fois de la journée ! Cest comme dans un rêve ou un cauchemar : à quatre pattes, comme une chienne, je suis en train de me faire limer par mon copain. Et comme les deux premières fois encore plus devrais-je dire ! jai limpression que je suis vraiment fait pour ça. Cette bite qui me fouille et me lime me procure un plaisir immense. Ma propre queue me fait mal tellement elle est dure. Et Sébastien a pris son rythme de croisière que je commence à connaître : pas trop vite, long, ample, profond et sensuel.
Je découvre quil me besogne devant la glace de son armoire. Je peux donc nous voir tous les deux en tournant la tête légèrement de côté. Cette image est prodigieusement excitante. Je regarde la bite de Sébastien qui va et vient et me rentre dans le cul, et moi, la croupe offerte, qui réagit à chaque coup de piston. Je suis fasciné et ne me lasse pas de contempler cette scène, mais jai limpression que lui aussi se rince lil. Nous nous régalons tous les deux du spectacle pendant de longues minutes. Mais Sébastien a apparemment une autre idée en tête car il sinterrompt tout à coup, et, dans une acrobatie périlleuse, sans jamais sortir sa bite de mon cul, nous bascule sur le côté, fait passer une de mes jambes par-dessus sa tête et se retrouve face à moi. Ensuite il pose mes deux jambes sur ses épaules. Me voilà sur le dos, les jambes en lair, mes mollets sur ses épaules et lui en train de me pilonner et de me regarder droit dans les yeux.
- « Jadore te regarder pendant que je te baise, jadore quand tu gémis avec tes petit cris dhétéro offusqué
»
Maintenant, Sébastien a les mains libres et il les utilise: il commence à me masturber tout en me sodomisant, pour que je néchappe pas à lorgasme. Il me branle tantôt dune main, tantôt avec les deux, sans jamais cesser de me regarder et de mobserver, de me limer encore et encore avec une endurance redoutable. À chaque fois quil sent que je suis sur le point déjaculer, il ralentit le rythme pour faire durer le plaisir le sien ou le mien ?- et cest ainsi que de longues minutes sécoulent sans que je puisse atteindre lorgasme. Impitoyable, Sébastien me maintient dans un état dexcitation extrême sans jamais conclure. Par gourmandise ou sadisme, il fait durer, durer, durer
Je nen peux plus, je le supplie, je gémis, je crie, mais rien ny fait. Il a compris comment me baiser longtemps sans me faire éjaculer et il en use, il en .
Depuis combien de temps est-ce que je me fais limer ? Dix minutes ? Vingt minutes ? Plus ? Je ne sais pas, mais quand enfin Sébastien se met à accélérer avec frénésie, je comprends quil nen peut plus et que la libération va bientôt arriver pour lun comme pour lautre.
Effectivement, comme tout à lheure et encore mieux synchronisés il sait vraiment y faire, le salaud !- , nous montons inexorablement vers lorgasme et quand nos cris se mêlent et se superposent, nous nous lâchons à nouveau dans un accouplement bestial. Ma queue, pressée dans les mains de Sébastien lâche plusieurs giclées de sperme qui montent à la verticale je ne me savais pas capable déjaculer si haut !- avant de retomber sur mon ventre et mon torse. Quelques instants plus tard cest au tour de Sébastien de se bloquer en senfonçant au plus profond quil peut et en poussant un long, très long gémissement rauque. Anéantis, épuisés, vidés et comblés, nous avons à peine le temps de reprendre notre souffle et de nous essuyer que nous sombrons déjà sans un mot dans un sommeil profond et réparateur.
(
)
Je me réveille doucement. Cest la nuit noire. Que se passe-t-il ? Où suis-je ? Je mets un certain temps avant de comprendre la situation. Je sens bien une présence à côté de moi mais il me faut quelques instants pour me souvenir de tout. Comment jai atterri dans le lit de Sébastien, et ce que nous avons fait avant de nous endormir. Tous les détails me reviennent en mémoire. Je ne tarde pas à comprendre ce qui ma réveillé : je suis couché sur le côté et Sébastien, dans mon dos, vient de se rapprocher pour me caresser les fesses ! Je nen reviens pas, il est tellement sûr de son fait quil me flatte la croupe, comme pour bien montrer que mon cul lui est acquis. Je me sens plutôt glauque (jai dû boire plus que de raison hier soir) et encore somnolent, donc je nai pas vraiment lénergie de protester, mais quand même ! Je pousse un petit soupir pour manifester
Pour manifester quoi, au fait ? Que je ne suis pas la chose de Sébastien et que jai envie de dormir ? Que je nai pas le courage de réagir ? Que je suis curieux ? Je nai pas le temps de trouver une réponse à cette question que Sébastien se manifeste avec plus dautorité. Il me caresse, va dune fesse à lautre, laisse trainer un doigt dans ma raie, sy attarde
Je sursaute un peu, je frissonne, jondule un peu de la croupe mais je ne me retire pas vraiment. Cest pas désagréable, mais quand même, je trouve quil y va un peu fort
Cela dit, je ne suis pas au bout de mes surprises : jai à peine le temps de minterroger sur lattitude de Sébastien que je sens un truc froid dans la raie de mes fesses. Non, ce nest pas possible, il mapplique du gel ! Avant que je réalise ce qui se passe Sébastien a déjà trouvé mon petit trou et guide son gland dans ma raie. Il ne lui faut que quelques instants pour trouver le chemin : ses mains mécartent les fesses pendant que sa bite appuie sur ma rondelle et cest reparti pour un tour : je vais me faire enculer pour la quatrième fois de suite, mais cette fois-ci, je nai même pas eu le temps de voir venir le coup. Il appuie, force un peu et senfonce en moi tout naturellement.
« Oohhhh ! », cest la seule réaction que je réussis à produire, qui peut être interprétée comme on veut.
Il se bloque au fond de mon cul puis sarrête, comme pour savourer sa victoire une de plus !- ou pour attendre ma réaction. Moi-même je ne sais pas quoi penser. Sodomisé pour la quatrième fois en quelques heures, des sensations contradictoires me traversent : indignation, surprise, questionnement, dégoût, volupté, fierté, curiosité, désir, lascivité, langueur,
Tout y passe, mais une fois encore, ce sont la curiosité et la volupté qui finissent par lemporter. Cette présence énorme au fond de mon cul me fascine complètement, dautant que Sébastien sait en jouer avec brio : il vient pratiquement de me violer par surprise, et, au lieu dobtenir une réaction de rejet, cest plutôt une passivité complaisante que je lui oppose. Inutile de dire quil sait profiter de la situation. Il me tient à présent bien par les hanches et commence à imprimer son rythme diaboliquement lent qui me fait monter si sûrement. En une seule soirée, il aura trouvé mon point faible et il sait en user, le cochon : une lente et profonde pénétration, des caresses douces et voila que je recommence à gémir comme une chienne en chaleur. Jai honte mais cest vraiment trop bon, je me laisse tringler et limer et le plaisir monte à nouveau inexorablement. Sébastien me caresse les fesses, les hanches, les cuisses, la poitrine et le ventre. Quand il descend plus bas pour me toucher le sexe, cest déjà fait : je bande comme un cerf et il na donc plus de doute à avoir, il va pouvoir me baiser comme il veut, aucune résistance nest à craindre.
Je me contente de gémir, mais cest juré : cette fois-ci, je ne dirai rien, je ferai comme si jétais à moitié endormi et presque inconscient. Je suis quand même honteux de mêtre fait avoir si facilement, et de couiner comme une belle salope dès que je me prends la bite de Sébastien dans le cul. Jai honte, mais que cest bon de sentir une queue qui vous pénètre, que cest bon de se faire tringler et donduler de la croupe comme une salope qui en redemande ! Sébastien est à présent en terrain conquis, il me lime allègrement, me tient bien par les hanches pour imprimer son rythme et accélère ou ralentit au rythme de mes soupirs et de mes gémissements. Par moments, il pose ses mains sur mes épaules et mattire à lui pour senfoncer au plus profond de moi avec force et autorité, pour bien me signifier quil est le maître des lieux, que mon cul est son terrain de jeu et quil à bien lintention den profiter. Le salaud ! Je nen reviens décidément pas. Il me lime tranquillement en toute impunité et je ne lui oppose aucune résistance. Au lieu de ça je me contente dapprouver par des petits gémissements et des soupirs éloquents. Comment en suis-je arrivé là ? Cest incompréhensible.
Je nai pas le temps dy réfléchir davantage que je me retrouve à quatre pattes : Sébastien vient de me basculer sur le ventre, puis me redresse larrière train pour me mettre en position. Le pire, cest que non seulement je nai opposé aucune résistance, mais en plus jai accompagné le mouvement ! Maintenant, je suis en levrette, comme une belle salope qui offre son cul et en redemande
Sébastien est tranquillement agenouillé en train de me besogner par derrière, ses mains tantôt sur mes reins, tantôt sur mon cul, et, encore et toujours, ce mouvement de piston régulier pour me soumettre et me baiser, toujours plus longtemps, plus profondément,
À un moment, il pose une main sur une de mes fesses avec énergie : ma parole, il est en train de me mettre une fessée ! Je suis tellement outré, tellement suffoqué dindignation, que je ne trouve rien de mieux que de pousser un « OOhhh ! » de surprise ou de protestation. Visiblement, cela ne suffit pas car Sébastien recommence de plus belle. Je réponds par un « AAhhh ! » qui ne vaut pas mieux
En fait, je suis en train de me faire fesser par Sébastien et je réponds par des petits cris complaisants comme pour lencourager ! Cest pas possible, je deviens fou ! Le pire, cest que je réalise que je suis plus excité quindigné, et que cette situation invraisemblable me plait au plus haut point. Je suis ni plus ni moins en train dassumer le rôle dune salope qui se fait tringler encore et encore, et qui prend toujours plus de plaisir à se soumettre et à se faire baiser avec tous les détails les plus crus que lon peut imaginer : à quatre pattes, gémissant, soupirant, pris par les hanches, pénétré longuement et profondément, flatté de la croupe, baisé violemment, caressé, cajolé, fessé,
Sébastien sen donne à cur joie il aurait tort de sen priver, ce cochon lubrique ! - , mais visiblement, il doit être super excité et incapable de se maîtriser, car il me pistonne déjà à une vitesse incroyable. Apparemment, le coup de me chevaucher en me filant des claques sur les fesses le met dans un état second et le rapproche de lorgasme plus vite que quand il ma baisé devant la glace tout à lheure. Pour moi, cest fini la respectabilité et la retenue : je gémis comme une belle salope, je crie des trucs incohérents et imprécis, mais cest évident que je prends un pied pas possible et Sébastien ne sy trompe pas.
Dans une telle explosion de fureur lubrique, rien détonnant à ce que Sébastien nen puisse plus : pour la quatrième fois en quelques heures, il se bloque tout à coup et pousse un long cri tout en se vidant au fond de mon cul. Je me suis fait grimper et engrosser par un mâle en rut et le pire, cest quune impression de sérénité et de fierté menvahit à cet instant.
De longues secondes de silence et dimmobilité passent avant que Sébastien ne se décide à bouger. Il se retire lentement, me flatte la croupe une dernière fois comme pour affirmer une fois encore sa possession, puis me bascule sur le côté d'abord, et enfin sur le dos. Je ne sais pas trop où jen suis, je suis un peu dépassé par la situation, mais ça ne dure pas longtemps : Sébastien vérifie létat de ma queue en la prenant en main : jai toujours une trique denfer (je nai pas éjaculé, moi !). Sébastien me masturbe quelques instants, puis me prend en bouche et commence à me sucer tout en me caressant les couilles. Je suis dans un état dexcitation tel que la montée est irrésistible et je recommence à couiner de plus belle. Cest terrible, jen ai honte mais cest si bon que je ne peux men empêcher. Voilà Sébastien parti dans une fellation diabolique, voluptueuse à souhait et dune terrible intensité : sa langue senroule autour de mon gland, passe sur le sillon et me met littéralement sur le gril. Mes gémissements sont de plus en plus impudiques et sonores et du coup il continue de plus belle pour me soumettre un peu plus, pour que sois sa chose à nouveau.
Jai compris son fonctionnement : ne pas me faire jouir trop vite, me rendre dingue, mobliger à gémir et à me trémousser, à me tortiller et à en redemander. Cest évidemment ce que je fais pendant plusieurs minutes. Il na pas lair de se lasser et continue à me soumettre ainsi, à me maintenir dans cet état si proche de lorgasme. Dès que je suis sur le point déjaculer, il sarrête un peu, attend et recommence quand lalerte est passée. Je deviens presque fou mais Sébastien, particulièrement endurant, continue à minfliger ce traitement
Une éternité sécoule ainsi. Je suis épuisé et pourtant jen redemande. Mais linévitable finit par arriver : quand jexplose dans la bouche de Sébastien, je suis dans un tel état que je me mets à trembler de tout mon corps et à pousser un long cri. Je suis tétanisé, jai limpression dêtre dominé par un orgasme si puissant que toute retenue, toute convenance me quitte. Je suis anéanti, vidé, mais comblé. Pendant de longues secondes je reprends mes esprits avant de me laisser aller et de me détendre. Et puis je menfonce très vite dans le sommeil avec un bien-être merveilleux mais un peu angoissant. Quest-ce-que je suis devenu en quelques heures ? Je viens quand même de subir quatre sodomies et, en plus dune irritation assez douloureuse, je me sens de plus en plus déstabilisé. Mais la nuit porte conseil, dit-on
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